Miss Kyouki ~

Votre Surnom||Prénom : Louise. Lou/Loulou/Akimito/Aki/Louzie
Votre Âge : 13




NOM : Kyouki (qui veut dire Arme Dangereuse]
Prénom : Akimito
Âge : 19 ans
Race : Humaine

Pouvoirs |DESCRIPTION*| : Elle n'a pas de pouvoir. Elle a juste une puissante force de persuasion, une force incroyable, et un maniement des armes exceptionnelle.

Description Morale : //6 LIGNES MINIS//Akimito est une fille au caractère bien trempé. Si on la cherche, on la trouve. A première vue, elle a l'air d'une fille froide, arrogante...cassante. Mais si l'on touche à quelqu'un qu'elle aime, ont peut dire que "ça va faire mal". Elle aime se sentir utile, et savoir qu'elle peut aider et protéger les autres. Elle aime rire, elle peut pleurer, elle peut crier. Mais elle peut rester impassible. Sa carrière de trois ans chez les yakuzas [mafia japonaise] lui a forgé un caractère de...de...de délinquante ! Mais de délinquante au grand coeur, attention.
Mais malgrès sa part de méchanceté et de gentillesse, joie, il y a aussi une Akimito effrayante et effrayée. Une jeune femme qui aime rester en retrait pour réfléchir, qui aime aider mais pas être aidée, car oui, Akimito a une fierté très mal placée ! Elle a beaucoup de problème, et une grande tristesse qui reste au fond d'elle. Une grande tristesse qui en intriguera plus d'un, mais il faudra déployer vos charmes pour qu'elle vous fasse confiance, et qu'elle vous révèle la nature de ladite tristesse.
Elle aime être provocante.
Description Physique : //7 LIGNES MINIS// Akimito n'est pas grande, mais elle n'est pas petite non plus. Elle est mince, a de belles formes, un visage triangulaire. Une poitrine raisonnable. On peut dire qu'elle a un corps de rêve. Sa peau est lisse et douce. Elle a des yeux en amandes, d'une couleur rouge. Son regard est méfiant, suspect, moqueur, taquin, avisé, prudent...une flamme brille dans ses yeux. Sa bouche est fine et sensuelle, repassé d'un rouge à lèvre couleur bordeaux, et étiré dans un demi sourire. Son large front est coupé par une frange. Ses cheveux bruns foncés, soyeux et doux sont retenus sur son crâne par deux 'ponpons' oranges, qu'elle a depuis qu'elle est tout petite. Quelques cheveux redescendent sur sa nuque, et d'autre sortent de ses ponpons, descendant jusqu'à ses fesses.
Sa plus grande fierté et sa plus grande honte se trouvent sur son dos. Un énorme tatouage la reliant aux Yakusas. Un dessin d'un énorme dragon vert, la gueule grande ouverte, entourées de Roses rouges. Elle aura se tatouage à vie. Elle a une grande cicatrice sur le ventre, quelques unes sur les jambes, et il lui manque le petit doigt de la main gauche (la droite pour elle, la gauche sur l'ava =D). Elle a donc une prothèse en fer, dans lequel est incorporé un mini pistolet.
Histoire : //10 LIGNES MINIS// Bonjour. Je m'appelle Akimito. Mon nom, je l'ai oublié, alors mes 'amis', ou plutôt mes partenaires, mon nommés Kyouki, arme dangereuse.
J'ai 19 ans. Mais en quoi mon âge vous importerait-il ?
Vous voulez savoir mon histoire ? Elle est tout ce qui est de plus banale. Du moins au début. A mes cinq ans, on peut dire que tout a commencé à changer. J'avais des parents on ne peut plus normaux. Ils m'aimaient, ou du moins en avait l'air. Déjà à mes cinq ans, je faisais preuve de violence et de supériorité envers mes camarades, ce qui ne plaisait pas à mes parents. Ils en avaient marre de moi. Je les aimais comme jamais je n'avais aimé personne pourtant !
Alors ils mirent au monde un deuxième enfant. Un joli petit garçon qui aurait les cheveux tout blond. A deux ans, il sut parler et marcher. Mes parents étaient très fiers, moi aussi. J'aimais beaucoup mon frère.
Mais malgrès tous les efforts que je déployais à l'école et à la maison, ce n'était jamais suffisant. Il n'y en avait plus que pour le petit Kyo. Kyo par-ci, Kyo par-là. Je le haïssais. Et je haïssais mes parents de m'avoir fait haïr mon petit frère.
Cependant, je voulais quand même qu'ils m'aiment et qu'ils soient fier de moi. Voilà pourquoi quand ils m'ont demandés du haut de mes 8 ans, de garder la maison, je n'ai pas su dire non.
Tout se passait bien. Je fermai la porte à double tour, avalai les sandwichs que je trouvai dans le frigo, puis je montai dans ma chambre et m'endormit.
Je fus réveillée vers 23 heures. Pensant que c'était mes parents qui ouvraient la porte, je sautai de mon lit et dévalai les escaliers pour arriver...devant trois parfaits inconnus. Trois hommes, qui devaient faire dans les deux mètres. ils avaient une cigarette à la bouche et étaient habillés tout en noir. Celui de gauche avait dans la main un grand couteau. Son bras était criblé de cicatrice. Celui de droite avait un katana. son visage était séparé par une balaffre imposante. Celui du milieu qui semblait être le chef, laissait délibérément apparaître un tatouage impressionnant, représentant un dragon au milieu de rosier. Il se baissa pour être à ma taille, et plongea ses yeux verts brûlants dans les miens. J'étais effrayé mais ne le montrais pas.
"Toi, me dit-il, ce n'est pas mon rôle à moi et à ma bande de venir chez des gens comme ça mais...là nous en avons vraiment besoin. Nous aons besoin d'argent tu comprends ? Et il parait que ta famille est très fortunée." Je fronçai les sourcils. Je n'avais que 8 ans, mais je savais quand on faisait quelque chose de bien ou de mal. Alors je ne réfléchis pas, je sortis un coutelas que j'avais trouvé par terre quelques jours au paravant et le pointait vers mon agresseur. Je crachai sur son blouson et criai : "Tu peux toujours rêver !"
L'homme au pistolet se jeta sur moi, plaçant le bout de son flingue sur ma gorge.
« On ne parle pas comme ça au corbeau noir, à Kuroi Karasu ...»
Le dénommé 'Corbeau noir', qui était le chef, se releva et tapa sur l'épaule de son ami.
« Relâche-la Meigetsu, lui dit-il, cette gamine ne manque pas d'audace. Et ça me plaît ! On aurait besoin de femme comme ça chez les Hiryuu Momoiro... » Je ne savais pas ce qu'était les Hiryuu Momoitruc, mais à cet instant, je m'en fichais.
« Mais chef ! » s'exclama l'autre gars. « On ne discute pas mes ordres Yachou » répondit le mec. Alors le dénommé Meigetsu me relâcha. Je tombai par terre, me relevai aussitôt. "Dégagez de ma maison sale bât**d !" criai-je.
"Quel vocabulaire pour une petite fille, me taquina le boss. Si un jour tu ne sais plus quoi faire et où aller, ça te dirait de nous rejoindre ? De vivre comme nous...librement...il faudrait juste que tu sois à mes ordres" En guise de réponse, je plantai mon couteau à côté de son pieds. Il me souleva, m'attrapant par le col.
"Bien. Je ne dis rien. Retiens juste ceci : Près du temple des roses, Hiryuu Momoiro." c'est ce qu'il me dit. "Et pour que tu ne m'oublie pas, je te laisse une petite signature." Il sortit son couteau, appuya la lame sur mon épaule et trancha ma peau d'un coup net, jusqu'à mon nombril. Le sang arriva, la douleur aussi. Je hurlais, tandis qu'il me laisser tomber par terre. "Amasser tout ce qui a de la valeur ici." Ses hommes s'exécutèrent. Le boss m'ébouriffa les cheveux, tandis que je suffoquais de douleur. Je lui jetai à la figure toutes les insultes que je connaissais. "Faire du mal aux innocents n'est pas mon travail. Mais il y a des jours où l'on a pas le choix."me dit-il en souriant. Puis ils partirent.
Quand mes parents rentrèrent deux heures plus tard, ils m'enfermèrent dans la cave pour la nuit. C'était ma punition pour leur avoir fait perdre tant d'argent.
La vie continua ainsi, je faisais tout pour que mes parents m'aiment, en vain. Je montai une petite bande de délinquant, fut renvoyée de mon collège plusieurs fois...pourtant je ne faisais jamais rien de bien méchant. Pour moi, les délinquants ne devaient pas faire de mal aux innocents. Je pensais que c'était juste comme ça que je voyais les choses avant de me souvenir que c'était "Corbeau noir" qui m'avait implanté cette règle. Alors à treize ans, je fuguais de chez moi, et marche jusqu'au temple des roses. Devant moi, ce tenait le repaire de la bande de Yakuza appelée "Dragon rose" ou Hiryuu Momoiro. J'étais devenu forte au combat et aux armes, je faisais peur, mais pas à ces hommes de deux mètres. Cependant ils me laissèrent passer quand je criai : "Je veux voir votre chef ! Corbeau noir !" "C'est moi" me dit ce dernier. Il n'avait pas changé depuis toutes ces années, à pars quelques cicatrices de plus, c'était le même. Il me regarda sans rien dire. "Hé bien ! dis-je, tu ne me reconnais pas ?!" Alors, n'ayant pas peur de me montrer nue devant des hommes (peur qui n'est toujours pas en moi) j'arrachai ma robe et lui montrai ma grande cicatrice.
Il me dévisagea, abasourdi, puis éclata de rire et m'amena vers lui. Ses amis se moquaient de lui : "Alors Corbeau, tu nous avais cachés ça !" "Hey Big boss, c'est ta fille ou ta copine !" Kuroi Karasu m'emmena à lui et cria : "Les amis, je vous présente Kyouki, arme dangereuse. Cette petite à de l'avenir, et elle fait maintenant partis des dragons rose ! Nous la tatouerons dès demain !"
De grands cris retentirent, nous fîmes la fête toute la nuit, je goûtais à l'alcool, à la joie, même à la drogue. Je me fit tatouer et passer le serment de rester toute ma vie chez les dragons roses. Je demandais la permission de donner à mes parents l'argent que j'amassais, pour pouvoir peut-être gagner leur fierté. C'est ce que je fis pendant des années. Mes parents acceptaient l'argent, mais été répugnés en voyant ce que je devenais. Je tuais les bandes ennemis, et aider les innocents quand je le pouvais. J'étais criblé de cicatrice, je regardais les gens de haut, mes amis étaient mes frères... J'imposais le respect. Je goûtais à l'amour de mon chef et perdit ma virginité à 14 ans. Et à mes 17 ans, j'eus une mission bien difficile. Mon frère, qui a 12 ans était déjà bel homme, avait provoqué le petit frère d'un de nos amis. Celui-ci avait voulu se venger, mais mon père avait protégé mon père et l'avait tué. Nous avions perdu un gars, ce qui n'arrivait jamais. Il fallait donc obtenir vengeance...et je devais moi-même tuer mon père. Je ne savais plus quelle fierté je voulais obtenir : celle de mes amis, ou celle de ma famille ? Je choisis les deux. Je tuai mon père, puis, écoeurée, je me tranchai le petit doigt et fuguai des Dragons Roses. Ce qui était interdit. J'étais maintenant poursuivis par la police, par ma bande, par mes parents...pendant deux ans, je vécu dehors, volant, tuant, aider...voler, tuer, aider....avant de tomber sur cette pension. On me dit qu'ici, je serais en sécurité. Je l'ai cru, j'éspère ne pas avoir tort. Je vous ai tous dis ou presque, mais ce que je vous cache, vous ne le saurez pas...pas pour l'instant.
Je n'ai pas eu un passé très joyeux, mais je ne me plains pas. J'ai bien vécu et tout connu. Maintenant, du haut de mes 19 ans, il ne me reste plus qu'a pouvoir trouver la paix...


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